brest 2008 en 420

Envie de partir à l'autre bout du monde, ou de faire des ronds dans un lac, comment débuter…
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bidid
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brest 2008 en 420

Message par bidid » 31 janv. 2009, 13:10

j'aurais bien quelques photos pour joindre au récit mais ça en fait trop a la fois pour les mettre en ligne, en plus ici il faut les réduire bien plus que sur l'autre forum VS...
j'essaie de les mettre en album sur picassa, mais bien qu'inscrit je ne trouve pas la touche "parcourir" pour les télécharger.



C'est l'hiver, il fait froid et nuit de bonne heure.
C'est le moment, bien calé au coin du feu, de me remémorer et de conter les récits de mes virées de navigation de l'été 2008.
Haaa ça fait du bien, et il me tarde les premiers jours ensoleillés et à rallonge de la prochaine saison.

Ca faisait longtemps que je voulais y aller, j'y suis enfin allé.
Je voulais y aller, mais pas en visiteur à pied qui arpente les quais dans la foule à se frayer un chemin pour essayer de voir ces vieux gréements de plus près; moi, je voulais les voir naviguer.
Pour cela, le mieux c'est d'être aussi sur un bateau et de naviguer avec eux.
Est-ce que cela sera possible ?
Je n'en sais rien, je verrais bien sur place.
L'année auparavant, j'avais repéré des endroits à proximité de Brest d'où l'on pourrait mettre un bateau à l'eau sans avoir l'affluence que j'imaginais lors de ce genre de manifestation.
J'avais trouvé le port du Caro juste en face de Moulin Blanc, (ph 1) (où il vaut mieux être adroit en marche arrière), ou même le petit port de Larmor un peu plus au Sud vers la pointe de Kerdeniel, (1) (sans cale bétonnée mais avec une petite plage avec mise à l'eau possible pour un dériveur avec remorque de mise à l'eau)
ou également la cale du passage sous le pont de l'Iroise qui passe au dessus de l'Elorn, mais très glissante et plus loin que Moulin Blanc.
J'irais finalement à Larmor.

1° jour : Trop de vent, on se contentera de regarder les plus téméraires à la jumelle depuis la pointe de Kerdeniel tout en se promenant le long du sentier du littoral (ph 2,3,4 ).

2° jour : Le vent baisse et devient plus adapté pour notre navigation en famille, mise à l'eau et cap sur Brest.
On arrive progressivement en tirant quelques bords, on s'approche, j'ai hâte d'arriver au mileu de la flotte. (ph 5,6)
On fait quelques ronds dans l'eau devant le port ne sachant où porter notre regard tant il y a de bateaux,
des gros, des petits, tous aussi magnifiques les uns que les autres.
Le spectacle est fabuleux et bien au-delà de mes espérances. mais hélas, une goutte masque l'objectif et les photos deviennent un peu floues. Vive les appareils avec obturateur automatique (ph 7,8,9).
Au bout de quelques virements de bord, les enfants commencent à avoir faim;
Je tente une approche dans l'avant-port afin de trouver un endroit où s'amarrer pour casser la croute tranquillement.
N'étant pas inscrits, on se fait gentiment interdire l'accès.
Donc, direction la plage la plus proche, au nord de Roscanvel (2) (ph 10).
On débarque, et je mouille le grappin, préférant voir le bateau s'agiter sur le clapot plutôt que de le voir raguer sur la plage caillouteuse.
Après s'être bien rempli la panse, on repart dans l'essaim de bateaux qui tirent des bords dans la rade.
On se croirait sur un trottoir parisien aux heures de pointe.
Il vaut mieux bien connaitre ses priorités, sous peine de se voir affubler de différents noms d'oiseaux, que même si on n'a pas bien déterminé la race d'oiseaux, on en devine le genre avec le doigt tapotant la tempe du diffamateur.
(Je m'excuse par ces lignes auprès de l'équipage du Surprise de ne pas m'être dérouté, jugeant que ça passait largement, à moins de ne pas les avoir vus, au moins je les aurais entendus.
Par la suite, d'autres bateaux sont passés beaucoup plus près sans faire autant de cinéma.)
Un peu trop d'affluence au milieu de cet essaim vraiment concentré sur une bande de 500m de large qui va de Brest à l'ile longue (4) (pour la simple raison, je pense de rester par vents travers et ne pas s'embêter à remonter au près après ou avant d'avoir profité des allures de largue)
pourtant la rade est grande.
L'ile longue (4) n'est pourtant pas une ile, c'est une base militaire comme il y en a partout dans la rade tres militarisée, la navigation à proximité est formellement interdite.
Vers 17 h, les enfants commencent à avoir froid, on regagne la plage de départ.
Je repars ensuite en solo.
Allégé de l'équipage, le 420 retrouve des ailes.
Il est vrai que les dernières navigations familiales en 420 datent de 2006. Depuis, les enfants ont grandi et se sont également alourdis au détriment des performances du 420.
Dorénavant, la navigation avec la famille entière ne se fera qu'occasionellement pour des petites durées ou découverte de plan d'eau.
L'essaim se vide, les bateaux regagnant leur emplacement respectif, la rade se vide peu à peu.
A un moment, en allant croiser leur sillage, je navigue près d'une paire de vieux gréements regagnant leur base de Lanvéoc.
Ce sont les meilleurs moments de navigation de la journée, plus de ressac, ça glisse tranquillement (ph 11).
Je vais faire un tour vers Moulin Blanc (3), afin de repérer l'affluence du port en fin de journée.
C'est très calme, pour une journée pareille.
Je navigue un moment à côté d'un magnifique Vaurien de 35 ans, qui me laisse un peu admiratif vu son état.
Apres réflexion, mon 420 est de 71 et a donc bien plus de 35 ans, mais pour son propre bateau, qui plus est en plastique, on est moins admiratif.

3° jour : Journée à terre, balade dans Brest en vélo aux alentours des festivités.
Cela a l'air immense et on se demande si on pourra tout voir en une journée.
Un repérage de l'extérieur nous donnera des indications sur les endroits où on pourra s'attarder quand on en fera le tour le lundi pour éviter la légère affluence du week-end.
Finalement, il faudra 2 jours à Isabelle et aux enfants pour bien profiter des expos et animations.
De l'esplanade au dessus du port, on distingue bien l'affluence sur le plan d'eau devant le port; (ph 13,14)
on aperçoit également l'ile ronde, que j'avais contournée la veille et qui parait si proche. (ph 12)
Beau panorama sur le village Vietnam et d'autres bateaux depuis le pont de Recouvrance.
Tiens, mais qui vois-je ?
Mais c'est la Caravelle de mon ami Fanche, sur laquelle j'avais été équipier lors du National Caravelle 2006 à Locquirec.
Avec de telles couleurs de voile, on ne peut pas la louper (ph 141, 142, 143).


4° jour : La météo est encore clémente.
Pour ma part, je préfère profiter de naviguer.
Après avoir repéré les alentours de Moulin Blanc,(3) je constate que l'affluence autour de la cale est très bien gérée par l'organisation : on peut très facilement se préparer et mettre à l'eau sans contraintes.
Je partirai donc de Moulin Blanc.
Direction l'entrée du port de Brest.
Toujours autant de beaux bateaux à cotoyer.
13 heures, l'estomac crie famine et l'heure de casser la croute approche.
Je décide de retenter l'entrée dans le port comme lors du 1° jour.
Et là, comme par enchantement, personne ne me dit rien.
Je me trouve une place à l'abri du vent juste sous l'étrave du Marion Duquesne.
Je casse la croute tranquillement, profitant du spectacle des allées et venues des jolis bateaux.
Au moment de partir, un Zodiac de l'organisation approche et m'interdit toute tentative de sortie jusqu'a 16 h pour raisons de sécurité :
la Marine va faire des démonstrations d'hélitreuillage.
Seules les péniches de promenade en mer étaient autorisées à passer.
Et dire que la veille je me voyais repoussé à l'entrée. Maintenant que je suis rentré, je me vois repoussé pour sortir, plutôt comique comme situation.
J'ai su par la suite que ceux qui étaient sortis étaient également bloqués à l'extérieur.
Dès 16 heures, les fauves sont lâchés.
Je profite d'avoir éte coincé dans le port pendant 2 heures pour traverser tout l'avant-port et sortir de l'autre côté.(ph 15)
Un peu las de tout ce vacarme et cette agitation, je tire un grand bord vers des eaux plus calmes jusqu'a Lanvéoc.
La rade est immense et donne envie de l'explorer plus en détail.
Bien que le ciel soit un peu nuageux, les conditions sont tip top : vent régulier, pas de clapot, ça glisse indéfiniment, quelques beaux vieux gréements se profilent à l'horizon, ce qui rend le moment inoubliable.
Retour à Moulin Blanc, en longeant les installations portuaires.

5° jour : Visite à l'intérieur du Brest 2008 côté quai.
Un petit peu déçu par les festivités : cela ressemble plus à une foire-exposition qu'à une fête nautique en Bretagne.
Peu ou quasiment pas de groupes folkloriques bretons.
Ou alors ils étaient sur les bateaux pour les privilégiés qui y avaient accès.
Déçu aussi par les défilés de nuit avec musique assourdissante sans aucun commentaire ...
Déçu aussi par les prix exorbitants pratiqués pour se restaurer.
Heureusement en cherchant bien, on pouvait en trouver à prix raisonnable ...
Je ne voudrais pas non plus trop critiquer cette fête qui a le mérite d'exister.
On a pu voir une multitude de vieux, petits, grands et magnifiques bateaux de très près et qu'on n'a pas toujours l'occasion de voir en aussi grand nombre en dehors de ce genre de manifestation (ph 17,18, 19,20, 21).
On pouvait aussi en visiter certains, avec une bonne dose de patience qu'on n'a pas eue.
On pouvait aussi se dépayser sur les villages exotiques : Madagascar, Norvège et Vietnam, avec son spectacle de marionnettes sur l'eau
avec des sonorités typiquement asiatiques ( ph 22 ),
voir des bateaux traditionnels d'autres pays, Galice ou Croatie, comme ce bateau traditionnel avec sa voile latine aux couleurs du drapeaux Croate (ph 28).
La jonque, la pirogue et les bateaux en jonc (paniers), (ph 23, 24, 25 ) étaient à vendre à prix tres raisonnables à l'issue du salon.
Bref, dans l'ensemble, tout le monde semble être heureux d'etre là.
C'est quand même bien organisé, une multitude de bénévoles sont à la disposition des visiteurs égarés.
Pour ceux qui aiment les bateaux, c'est quand même à voir au moins une fois.


6° jour : Dernier jour avant le grand départ de la flotte vers Douarnenez.
Objectif, toujours naviguer mais cette fois, tenter de passer le goulet de Brest.
Après avoir fait le tour d'une des piles de pont de l'Aulne, je vise une jongada brésilienne, qui se promène tranquillement.
A bord, il y a de l'ambiance, ça chante, ça joue du tamtam sur un bidon. (ph 29)
Ensuite, direction l'essaim devant le port. Je cotoie quelques bateaux repérés à l'intérieur et décide de partir dans des eaux plus clémentes.
Comme les jours précédents, il y a un ressac énorme, occasionné par la multitude de bateaux.
Le plus pénible dans tout ça, ce sont les bateaux à moteurs, qui ne tiennent aucun compte des petits voiliers, et leur virent devant le museau en leur remplissant le bateau avec leur vague d'étrave.
On se retrouve parfois complètement arrêté par leur vague;
Il faut anticiper, avoir les yeux partout et surtout repérer et éviter les pires, les péniches de promenade en mer (promène-couillons, c'est bien comme ça qu'on les appelle, me semble-t-il ?) qui font leur incessant aller-retour pour essayer d'en montrer le maximum à leurs passagers au mépris du respect envers les autres petits bateaux.
Il faudrait éviter surtout de naviguer près des gros voiliers devant le port, car c'est surtout autour d'eux que gravitent ces péniches.
Je ne suis pas le seul dériveur sur l'eau, je tente de régater avec quelques uns en prenant leur sillage.
Vers 17 h, peu à peu, l'essaim se vide.
Histoire d'explorer un peu la rade, je me dirige vers le goulet.
Au loin, un magnifique plan Fife s'éloigne.
Je rattrappe un croiseur moderne de 42 pieds, je demande quelques conseils sur la force du courant dans le goulet, je sors du goulet, j'ai Camaret en vue.
Je n'ai plus qu'à abattre et, en moins de 2 heures, je pourrai y être.
D'autres bateaux ont prévu d'y aller pour avoir à se lever moins de bonne heure pour le lendemain.
Lors du retour, je vois au loin un gros cargo venant du large qui approche. Quelques instants plus tard, je m'aperçois qu'il s'est très vite rapproché.
Même en approche des ports, les cargos se déplacent encore vite.
Quelques coup de trompe me font m'interroger si ils me sont adressés, bien que je me sois dirigé vers les bords afin de lui laisser le champ libre dans le chenal.
Même distant de plus d'une centaine de mètres, c'est assez impressionnant de se faire dépasser par une telle montagne d'acier.
La journée tire à sa fin, presque plus de bateaux dans la rade.
Je n'ai plus qu'à retourner à Moulin Blanc pour récupérer ma remorque, on ira par la route.
Isabelle n'aime pas conduire et, pour elle, ce serait quasiment mission impossible avec une remorque.

Camaret :
la météo est au rendez-vous.
Magnifique journée qui se prépare pour cet exode de la flotte de Brest vers Douarnenez, mais peu de vent, ce qui ne me motive pas pour mettre à l'eau et escorter les bateaux qui commencent à se profiler à l'horizon.
Je profiterai du spectacle depuis le haut des falaises au dessus des tas de pois.
Je ne regretterai pas, ça valait le coup d'oeil. (ph 31, 32, 33)
L'après-midi, j'irai voir de plus près ces fameux tas de pois en partant de Camaret.
Vent modéré et beaucoup de clapot, qui ne me donnera pas un souvenir impérissable de cette journée de navigation.
Petit tour autour des tas de pois. (ph 34)
J'ai une petite sensation de ne pas bien maitriser les éléments à l'approche des tas de pois.
En effet, il y a des vents irréguliers, changeant de direction et de force, sûrement générés par les turbulences du relief,
avec en plus un petit effet de Venturi du courant et les contres qui vont avec ...
On fait le tour et on rentre en accompagnant quelques croiseurs qui ont accompagné la flotte et sont partis de bonne heure ce matin.

Douarnenez :
Petite dépression qui passe sur la Bretagne.
On attendra 2 jours pour naviguer (ph 35).
Les festivités se déroulant sur le port de pêche de Douarnenez, on sera dirigés vers Le Tréboul pour mettre à l'eau.
La cale étant plus petite que celle de Brest, on retrouve l'ambiance habituelle des cales surfréquentées.
On part en famille vers le port de pêche, je dépose la famille sur une plage à proximité pendant que je fais quelques ronds dans l'eau dans la baie.
La Recouvrance, bien reconnaissable, fait aussi quelques manoeuvres dans la baie (ph 36).
Les conditions devenant un peu plus musclées, la navigation s'en retrouvera un peu plus sportive et arrosée.
Je ferai le retour avec Pauline, alors que Yann et Isabelle rentreront à pied.
De nombreux bateaux qui étaient à Brest se retrouvent à Douarnenez.
C'est pourtant bien plus petit mais ils trouvent leur place.
Les petits bateaux étant sur coffre dans l'avant port (ph 37, 38).
Douarnenez a plus un coté fête traditionnelle bretonne, avec des tables et bancs pour déguster les repas chauds servis sur le port.
J'ai trouvé le ton plus convivial qu'à Brest, où il y avait plus de chose à voir et à découvrir.

Hélas peu de photos en navigation.
A moins d'avoir un vrai appareil antichoc et étanche, il n'est pas aisé de faire des photos en dériveur.
Une des raisons pour lesquelle j'ai hésité pour le choix du bateau pour découvrir les fétes maritimes bretonnes, j'avais le choix entre mon Tabasco et le 420.
Ayant navigué toute la saison 2007 avec le Tabasco pour le tester, j'ai décidé de le mettre en chantier durant l'hiver.
Seulement, je n'ai pas eu le temps de le finir (je travaille trop lentement, plus un printemps pas très clément).
Le choix était donc fait, je n'avais que le 420.
J'hésite souvent entre les 2 bateaux.
Le 420 me donne plus de sensations, de plaisir de barre, de facilité pour le tracter et le mettre à l'eau.
Le Tabasco est plus sécurisant, plus confortable, un vrai petit croiseur, mais n'offre pas cette sensation de glisse et est plus contraignant à tracter et mettre à l'eau.
L'été prochain, ce sera le Tabasco, j'ai des bricoles à faire sur le 420 (renforcement du point d'ancrage de l'étai).

J'espère par ces quelques lignes et photos (plus celles à venir), vous avoir donné envie d'oser (pour ceux qui n'osent pas encore) ateler le bateau et partir sur des plans d'eau différents que ceux où vous naviguez habituellement.

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Re: brest 2008 en 420

Message par pi.r » 31 janv. 2009, 15:05

bien beau récis :) ......on attend la suite :xc ...

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matth
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Re: brest 2008 en 420

Message par matth » 01 févr. 2009, 23:18

bidid a écrit :Au moment de partir, un Zodiac de l'organisation approche et m'interdit toute tentative de sortie jusqu'a 16 h pour raisons de sécurité :
la Marine va faire des démonstrations d'hélitreuillage.
Seules les péniches de promenade en mer étaient autorisées à passer.
je crois que c'est moi qui t'es empecher de sortir :lkj
bidid a écrit :Et dire que la veille je me voyais repoussé à l'entrée. Maintenant que je suis rentré, je me vois repoussé pour sortir, plutôt comique comme situation.
j'avoue ;)
Quand le Goéland se gratte le gland, c'est signe de mauvais temps;
Quand il se gratte le cul, c'est pas bon non plus !

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Re: brest 2008 en 420

Message par bidid » 01 févr. 2009, 23:37

:xc :gfe next time je prendrais un arc et des flèches ,
ça le fera mieux sur un zod

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Re: brest 2008 en 420

Message par matth » 02 févr. 2009, 09:15

sauf que mon embarcation rouge ressemble a un zod mais n'en est pas un :p

increvable, 100% plastik

enfin si tu dis que c'est un vrai zod, c'était pas moi, pourtant j'etais de "police" pendant les héli-treuillage (d'ailleurs j'étais ultra bien placé pour les photos :))
Quand le Goéland se gratte le gland, c'est signe de mauvais temps;
Quand il se gratte le cul, c'est pas bon non plus !

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Re: brest 2008 en 420

Message par Egareg » 02 févr. 2009, 09:37

J'ai eu la même mésaventure :
Parti du Moulin Blanc avec mon 470, j'ai pu rentrer dans le premier bassin puis un zodiac est venu contrôler que j'étais inscrit. Comme ils ne trouvaient pas le bateau dans leur liste, appel au pc pour vérification et demi-tour...
A signaler que cet équipage n'avait très probablement pas l'habitude des dériveurs et qu'il nous serrait un peu trop près pour que la sécurité soit respectée. Mais à leur décharge on doit avouer que nous n'avions pas de cagnard et qu'ils devaient être bien occupés durant toute la journée.
Le lendemain, cagnard bien en vue, nous avons pu profiter du calme des bassins après le clapot court des promènes-co****ons et c'était bien sympa d'aller tourner autour des autres bateaux de la famille.

Moralité pour les dériveurs des années 60- 70 : inscrivez-vous au pc (c'était possible même pendant la fête... jusqu'au dimanche, je crois) et mettez vos cagnards en évidence pour ne pas être embêtés.

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Re: brest 2008 en 420

Message par Glomelvoile » 05 mars 2009, 19:12

Extra ta (votre) petite expérience ! :xc :xc :xc

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Re: brest 2008 en 420

Message par bidid » 15 avr. 2009, 23:13

pour les photos, elles sont en ligne sur nautical treck
ici :
http://www.nauticaltrek.com/recits/fran ... n_420.html

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