[470] Plans hiloire brise-lame et barrot arrière 470 Morin

[Nicolas]

L'AS470France a participé au sauvetage du plus vieux 470 connu encore naviguant (le n°31). A cette occasion, des relevés de formes et gabarit des pièces ont été opérés pour le brise-lame et le barrot arrière.

C'est valable pour les 470 Morin de 1963 à 1969.


Les personnes intéressées par une copie à l'échelle 1:1 peuvent me contacter.

[gaston]

Aprés le chef d'oeuvre : "470 le grand livre", ou il y avait l'histoire du 470 plutôt orienté sur les équipages et l'histoire de la compétition, mais moins d'infos sur les détails des évolutions techniques, j'ai l'impression que l'ami Nicolas est parti pour écrire le tome 2 : "470 tout sur l'évolution du bateau"... avec détails techniques et évolution de la pratique...

ça serait un bon complément au tome 1 et la boucle serait bouclée... ou alors un tome III plus spécifique encore : le 470 vu par gaston????

[olivier81]

ça c'est une bonne idée de garder plans et gabarit pour ces pièces

[Nicolas]

Arf... j'ai un petit mémo pour dater les coques Morin, mais je me base moins sur l'accastillage que sur le moule.
L'évolution technique du 470, c'est intéressant ; il a dû se passer plus ou moins la même chose sur le 505 et le 420.
Mais il n'y a pas de vérité absolue, uniquement des codes ou des modes, des façons de naviguer, des coupes de voile, qui nécéssitent tel ou tel accastillage.

Tiens, la tire arrière par exemple : ça va, ça vient selon les années et les bateaux.... mais c'est pas évident de réapprendre à virer ; je pense qu'on est obligé de tourner le dos à un moment, mais ça reste à confirmer.

Les causes externes sont importantes, notamment l'arrivée des parcours courts, avec du vent arrière, où la flotte est resserrée.

Quand on voit les écarts qui se comptent en secondes sur une manche de 50mn, on comprend que les gars soient à l'affût du moindre truc qui va leur permettent de manoeuvrer ou de relancer un tout petit peu plus vite que les adversaires. Parce qu'en définitive, il n'y a quasiment pas d'écart de vitesse pure ou de cap entre les bateaux quelque soit leur chantier. C'est l'équipage et les réglages qui font la différence.

[Nicolas]

Merci Gaston pour le "chef d'oeuvre" ; Jean-Claude Cornu a utilisé exactement les mêmes mots

Je pense qu'il est désormais épuisé en français mais il m'en reste qq exemplaires.