Re: La flotte Ablonaise.
Publié : 22 déc. 2019, 16:00
Navigation de crétin,
Il fallait vraiment en avoir envie, avoir une dalle de végan abstinent pour braver la grève des transports en commun. 30 minutes de marche jusqu'a Saint Lazare objectif la ligne 14.
Dans la rame cette petite fille, visiblement inquiète demandant à son père :
- Nous allons être en retard pour le train. ?
Cette furieuse envie de lui répondre :
- Ne t’inquiète pas tu ne seras pas en retard, ton train est annulé.
Je me ravise.
Gare de Lyon, je rejoins Manu et nous poireautons une heure avant d’être aspiré par le flot de la populace bouillonnante. Cela ferait passer les courants du Golfe du Morbihan pour de simples ruisseaux. Mais nos efforts ne seront pas vains.
Une fois expulsés de la rame par le Jusan de Créteil, nous allons nous offrir le plus beau cadeau de Noêl, prendre un demi cran de cadène pour une navigation dans un bon vent établit et dans l’axe.
Au programme, bords de pré en gardant le bestiau le plus à plat possible continuer de scruter le plan d’eau pour anticiper les sorties de virements, enfin slalomer entre refus et ados. Parfois nous perdons de l’appuie et je me retrouve dans la position d’un palmidé à col vert battant des pattes à la surface de l’eau pour ne pas sombrer.
Bords de portants, nous établissons le pépin et enchainons les empannages en travaillant sur une portance maxi pendant l’opération. Je limite mes gestes à l’essentiel, bousculant un peu ma procédure, mais cela porte ces fruits. Accélérations, et gestion de la pression dans le spi.
Les sensations sont globalement bonnes, plus d’efficacité dans un temps réduit. Les déplacements sont moins hachés et brutaux. Deux heures de navigation a se cracher dans les pognes, ça donne soif, nous rentrons.
Vivement la suite.
Il fallait vraiment en avoir envie, avoir une dalle de végan abstinent pour braver la grève des transports en commun. 30 minutes de marche jusqu'a Saint Lazare objectif la ligne 14.
Dans la rame cette petite fille, visiblement inquiète demandant à son père :
- Nous allons être en retard pour le train. ?
Cette furieuse envie de lui répondre :
- Ne t’inquiète pas tu ne seras pas en retard, ton train est annulé.
Je me ravise.
Gare de Lyon, je rejoins Manu et nous poireautons une heure avant d’être aspiré par le flot de la populace bouillonnante. Cela ferait passer les courants du Golfe du Morbihan pour de simples ruisseaux. Mais nos efforts ne seront pas vains.
Une fois expulsés de la rame par le Jusan de Créteil, nous allons nous offrir le plus beau cadeau de Noêl, prendre un demi cran de cadène pour une navigation dans un bon vent établit et dans l’axe.
Au programme, bords de pré en gardant le bestiau le plus à plat possible continuer de scruter le plan d’eau pour anticiper les sorties de virements, enfin slalomer entre refus et ados. Parfois nous perdons de l’appuie et je me retrouve dans la position d’un palmidé à col vert battant des pattes à la surface de l’eau pour ne pas sombrer.
Bords de portants, nous établissons le pépin et enchainons les empannages en travaillant sur une portance maxi pendant l’opération. Je limite mes gestes à l’essentiel, bousculant un peu ma procédure, mais cela porte ces fruits. Accélérations, et gestion de la pression dans le spi.
Les sensations sont globalement bonnes, plus d’efficacité dans un temps réduit. Les déplacements sont moins hachés et brutaux. Deux heures de navigation a se cracher dans les pognes, ça donne soif, nous rentrons.
Vivement la suite.
