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Choisis un vernis mono composant, il s'ecaillera moins en cas de chocs.

Je possède ce livre. Sur chaque dériveur. A chaque fois ses caractéristiques et des conseils pour l'exploiter au mieux dans le petit temps, le médium et la brise. Un peu daté mais assez complet et très intéressant au final.

Il faut que ton mélange résine-charge ai une consistance "Nutella".

J'ai réparé le safran de ma yole qui avait plein de bobos de ce genre : ponçage sévère autour des zones abîmées,recharge généreuse à la résine époxy chargée au woodfil (merci Sicomin) puis ponçage pour retrouver le profilé. Enfin deux couches de peinture composants de chez International et le safran...

Beau travail de restauration du mât et bravo pour les astuces pour la ralingue.
Sur le mât de ma yole ok j'ai mis 8 couches de Tonkinois et je ne le regrette pas.

Pour sécuriser la dérive sur un optimist, il faut fixer sur le puits de dérive, de préférence 5 à 10cm de l'arrière de celui-ci, un brin d'élastique. Fixé de part et d'autre du puits celui-ci vient maintenir la dérive en position basse e passant par dessus et maintient également celle-ci en position...

En 2019 j'ai revernis le mât en bois de ma yole ok. 8 couches de Tonkinois et aucun problème pour la ralingue de la voile dans le rail du mât. Ça coulisse même mieux qu'avant !

Moi je recollerais avant, histoire que le vernis complète l'étanchéité de la réparation.

Tu film de scelfrais ta balance avant la pesée et tu la récupères comme neuve à la fin.

J'ajouterai le lac de Laffrey (Pierre-Chantel et Petichet sont moins intéressants) : lac pas immense mais bien orienté aux vents et avec des campings les pieds dans l'eau.