Bonjour à tous,
Pas de soucis pour le message effacé. (En 40+ années d’informatique, j’en ai effacé quelques uns par erreur, et mes collègues ne se sont pas gênés non plus d’ailleurs, et pas des messages de forum, de vraies données de clients qui prenaient chaque fpois beaucoup de temps à restaurer

)
J’ai relu aujourd'hui vos messages avec le plaisir de retrouver des conseils avisés et pragmatiques et je compte bien faire état de ces arguments en discutant avec Antoine.
La nature des fibres utilisées des plaques en nid d’abeille justifie que ce soit réparé avec les produits adéquats; mais est-ce réparable sans risque de nouvelle avarie similaire à la prochaine sortie un peu venteuse ?
Et si oui, cela fait encore pas mal - trop - de semaines avec 3/4 de bateau a dormir au garage
Il faut dire que depuis nos échanges avec Gaston cet hiver pour ma dérive (ça tient super bien

, j’ai aussi dû renvoyer le bloc étrave chez eux car il faisait eau : une fissure à la jointure entre les panneaux en nid d'abeille du bouchain sous l’eau.
Ça a donné lieu à bon nombre d’échanges de mails, sms, appels, photos et vidéos, puis finalement à l’envoi (à mes frais) par transporteur pour que l’expert maison (?) juge si j’avais mésutilisé la pièce ("m’asseoir dessus" ou "fait tomber le bloc" par exemple) du fait de la structure spécifiquement étudiées pour répondre aux contraintes de la pièce qui ne supporterait pas ce type de traitements, dixit.
J’ai récupéré le bloc étrave mi juin…et mes frais d’envoi aller - par UPS en colis hors dimensions et de valeur > 1000€…chez Ouest Composites à Vannes - seulement fin août.
et beaucoup de stress et de désapointement.
J’ai le défaut d’être extrêmement maniac, notamment sur l’entretien de mon matériel, moto ou bateau : jamais une sortie sans un nettoyage de fond en comble, sèchage, huilage et graissage si besoin ensuite; ça permet d’inspecter en détail et prévenir tout ennuis en utilisation. Si je casse par maladresse quelque chose, je ne demande pas au vendeur de me le réparer. Ici, je ne pense pas avoir atteint les limites annoncées du Reverso; une pointe à 11.2 noeuds est loin des 16 noeuds que l'un des propriétaires a indiqué !
Il va de soi que la perspective d’une bataille juridique avec experts contradictoires ne me rejouis pas en cas de désaccord sur les raisons de cette avarie.
Je préférerai racheter une pièce neuve, revendre le bateau pour m’en racheter un et naviguer que de traîner une procédure des mois (années?) et y laisser mon moral. A nos âges, on n’a pas ce genre de temps à perdre !
Cependant, les réseaux sociaux sont aujourd’hui des moyens d’information (et d'image d'entreprise) qui peuvent être décisifs en cas de « mauvaise volonté » de l’entreprise; ce n'est pas l'idée que j'en ai pour le moment. C’est par ces média que j’avais connu le Reverso et que je suppose pas mal de clients aussi.
Si les choses tournaient mal, je ne dis pas que je ne publierai pas quelques photos explicites qui font plus qu’un long discours ou une mauvaise procédure…
Mais on n’en est pas là et je souhaite de tout cœur que ce ne sera pas le cas; personne n’aurait à y gagner.
En attendant des nouvelles d’Antoine, sollicité hier pour un appel téléphonique, ou de son équipe, je profiterai de la prochaine belle brise de mistral pour naviguer sur l’un des laser du club : m’étant acheté un casque (déjà bien inauguré

), je ne risquerai que mon honneur en cas de speed-dating avec la bôme de cette embarcation capricieuse et exiguë
Bon dimanche à toutes et à tous et bon vent : la belle saison n’est pas finie !