pecher avec un deriveur
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pecher avec un deriveur
bjr
est ce quelqu un a deja essayer de pecher avec un deriveur ?
merci de vos experience
est ce quelqu un a deja essayer de pecher avec un deriveur ?
merci de vos experience
- aternice
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Re: pecher avec un deriveur
Il faut demander à coucoudou c'est le spécialiste de la pêche au 505 aussi bien à la traine que voiles affalées en se laissant dériver
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- Dauphin trapeziste
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Re: pecher avec un deriveur
J'ai essayé une fois en opti avec un chewing-gum comme appât : pas concluant.
Sinon, naviguer à marée montante à l'entrée du chenal du port de Noirmoutier peut se révéler plus fructueux : ça grouille tellement que les poissons sautent partout et atterrissent parfois dans le bateau. En faisant chaluter un peu le spi à l'affalage c'est la pêche miraculeuse
Dans le même topo, un gars de mon club a récupéré une carpe dans son cockpit de laser en pleine manche d'Europa Cup à Hourtin. Bravo la carpe, viser un cockpit de laser n'est pas chose aisée A t'elle essayé depuis de faire mieux : sauter dans le cockpit d'un sunfish ?
Sinon, naviguer à marée montante à l'entrée du chenal du port de Noirmoutier peut se révéler plus fructueux : ça grouille tellement que les poissons sautent partout et atterrissent parfois dans le bateau. En faisant chaluter un peu le spi à l'affalage c'est la pêche miraculeuse
Dans le même topo, un gars de mon club a récupéré une carpe dans son cockpit de laser en pleine manche d'Europa Cup à Hourtin. Bravo la carpe, viser un cockpit de laser n'est pas chose aisée A t'elle essayé depuis de faire mieux : sauter dans le cockpit d'un sunfish ?
Les finns sont dans la pente
Re: pecher avec un deriveur
peche ilégale ! vot compte est bon mon gaillard !!
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Re: pecher avec un deriveur
J'ai des potes qui avaient décidé, il y a bien longteps de faire une virée autour du phate du Sénéquet devant coutainville avec leur 470 Roga alors flambant neuf, ils trainaient un hameçon avec une cuiller ...eh ben ils sont revenus avec un bar de 3 kilos dans a baille à spi...aux innocents les mains pleines ...mais en 1973 le poisson était plus abondant que maintenant...pour les maqueraux on s'autolimitait tant il y en avait
- FRA 19
- Dauphin trapeziste
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Re: pecher avec un deriveur
Un petit coup d'humour noir bien cynique : aux 24 h de Trégastel en 98 (quelques mois après l'histoire des scouts de l'abbé Cottard), un gars de mon club chalute son spi, beau chalutage, spi bien rempli d'eau qui passe sous le bateau. Je lui ai lancé "Rentre ton spi, t'as pêché un scout".
Les finns sont dans la pente
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Re: pecher avec un deriveur
En voilà une qu'elle est bien bonne..20/20 avec mention...elle nous console des tracasseries et des contrôles qui ont plu sur les écoles de voile sérieuses après les exploits de ce con réactionnaire et illuminé.....qui n'en était pas à son premier pépin...
Le père d'un gars que je connais a réalisé au moment de l'affaire que quelques années plus tôt il avait porté assistance dans des conditions limites à un groupe de scouts et s'est rendu compte rétrospectivement qu'il s'agissait de la troupe de l'abbé Cottard, qui suivait son monde depuis la côte , avec sa bagnole et faisait qq appels de phare pour les guider....en la circonstance l'abbé était venu s'informer, avait remercié du bout des lèvres et filé comme un pet sur une toile cirée avant qu'on lui fasse des reproches mérités.
Le père d'un gars que je connais a réalisé au moment de l'affaire que quelques années plus tôt il avait porté assistance dans des conditions limites à un groupe de scouts et s'est rendu compte rétrospectivement qu'il s'agissait de la troupe de l'abbé Cottard, qui suivait son monde depuis la côte , avec sa bagnole et faisait qq appels de phare pour les guider....en la circonstance l'abbé était venu s'informer, avait remercié du bout des lèvres et filé comme un pet sur une toile cirée avant qu'on lui fasse des reproches mérités.
- loic22
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Re: pecher avec un deriveur
a mon humble avis, on oublie la canne à pêche, par contre on doit pouvoir y aller avec une planchette japonaise:
on la traine et quand un maquereau mords, elle remonte, il n 'y a plus qu'a mettre en panne et remonter
deuxième solution, le casier, ça ressemble à une prise de coffre et mise à la cape.
par contre ça necessite d'avoir un numero d'immatriculation à peindre sur la bouée...
on la traine et quand un maquereau mords, elle remonte, il n 'y a plus qu'a mettre en panne et remonter
deuxième solution, le casier, ça ressemble à une prise de coffre et mise à la cape.
par contre ça necessite d'avoir un numero d'immatriculation à peindre sur la bouée...
Feu patate !
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- Barreur sans compas
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Re: pecher avec un deriveur
Il y a une vingtaine d'années (à l'aise), j'étais moniteur à Portbail (face aux Anglo Normandes).
A cette grande époque, l'école de voile marchait à plein avec (de mémoire) : 4 ou 5 vauriens, 5 équipes, 11 420, 6 caravelles (pour les embarquements collectifs), et une vingtaine (mini) d'optimists... et on refusait du monde.
Bref (comme disait Pépin), à cette époque faste, il y avait la 'régate de l'école' tous les vendredis, entre stagiaires uniquement (avec une dérogation pour les moniteurs qui avaient le droit de la faire en Equipe, mais en solo....)
Et puis il y avait "l'école de voile d'en face", à Carteret (bon, un peu plus loin que en face, mais passons), qui faisait aussi sa régate un samedi sur deux. Donc généralement, on étais toujours 2 ou 3 copains moniteurs à reluquer dans la semaine les meilleurs stagiaires, qu'on emmenait avec nous faire la régate de Carteret le samedi (équipage mixte obligatoire, pas deux moniteurs sur le même bateau).
Bien évidemment, tout ça se faisait par la mer, on envisageait même pas de mettre les bateaux sur des remorques (peut être aussi que le fait de ne pas avoir de remorques de route, ni le permis d'ailleurs explique celà). Et c'est pas les 4 miles en longeant la plage qui nous faisait peur. De guère lasse le chef de base nous laissait faire, en insistant juste pour qu'on reste pas trop loin de la sécu qui nous escortais, et roule jeunesse !!!!
Et donc un jour d 'été, nous nous en revenions de Carteret retour vers Portbail après la régate, avec pour objectif d'arriver avant que le chenal d'accès ne soit sec (porter les 4 420 sur 500 mètres, merci), quand le temps à commencé à bien forcir, un bon 4 bien solide, temps gris et petit crachin normand (qui n'a pas grand chose à envier à celui des voisins d'outre-Couesnon). Evidemment, ce qui devait arriver arriva, je me suis baqué avec mon stagiaire d'équipier, chapeau, tangon qui flotte dans les vagues à côté du bateau, le spi qui sort de la baille et traîne à côté telle une mauvaise auréole blanche et bleue.... (et tous les autres 420 qui aussitôt se regroupent à la cape à 100 mètres de nous, bien entraînés nos stagiaires !!!)
Bon, on redresse, on monte dans le bateau, ménage, ranger le tangon, on se met dans la bonne direction, je vois le spi qui fait un superbe tour dans les barres de flèches avec une belle poche d'eau suspendue, et donc je demande à l'équipier s'il pense arriver à défaire ça sans devoir se rebaquer volontairement... et je le vois se rotourner vers moi un peu timide, et me dire : Euh... non pas là !!
Je lève donc la tête, et j'aperçois une superbe méduse qui flotte dans la poche du spi à 2 mètres au dessus de la tête de mon équipier !!!!!
La plus belle pêche que j'ai jamais fait en tout cas.
Sylvanoe
A cette grande époque, l'école de voile marchait à plein avec (de mémoire) : 4 ou 5 vauriens, 5 équipes, 11 420, 6 caravelles (pour les embarquements collectifs), et une vingtaine (mini) d'optimists... et on refusait du monde.
Bref (comme disait Pépin), à cette époque faste, il y avait la 'régate de l'école' tous les vendredis, entre stagiaires uniquement (avec une dérogation pour les moniteurs qui avaient le droit de la faire en Equipe, mais en solo....)
Et puis il y avait "l'école de voile d'en face", à Carteret (bon, un peu plus loin que en face, mais passons), qui faisait aussi sa régate un samedi sur deux. Donc généralement, on étais toujours 2 ou 3 copains moniteurs à reluquer dans la semaine les meilleurs stagiaires, qu'on emmenait avec nous faire la régate de Carteret le samedi (équipage mixte obligatoire, pas deux moniteurs sur le même bateau).
Bien évidemment, tout ça se faisait par la mer, on envisageait même pas de mettre les bateaux sur des remorques (peut être aussi que le fait de ne pas avoir de remorques de route, ni le permis d'ailleurs explique celà). Et c'est pas les 4 miles en longeant la plage qui nous faisait peur. De guère lasse le chef de base nous laissait faire, en insistant juste pour qu'on reste pas trop loin de la sécu qui nous escortais, et roule jeunesse !!!!
Et donc un jour d 'été, nous nous en revenions de Carteret retour vers Portbail après la régate, avec pour objectif d'arriver avant que le chenal d'accès ne soit sec (porter les 4 420 sur 500 mètres, merci), quand le temps à commencé à bien forcir, un bon 4 bien solide, temps gris et petit crachin normand (qui n'a pas grand chose à envier à celui des voisins d'outre-Couesnon). Evidemment, ce qui devait arriver arriva, je me suis baqué avec mon stagiaire d'équipier, chapeau, tangon qui flotte dans les vagues à côté du bateau, le spi qui sort de la baille et traîne à côté telle une mauvaise auréole blanche et bleue.... (et tous les autres 420 qui aussitôt se regroupent à la cape à 100 mètres de nous, bien entraînés nos stagiaires !!!)
Bon, on redresse, on monte dans le bateau, ménage, ranger le tangon, on se met dans la bonne direction, je vois le spi qui fait un superbe tour dans les barres de flèches avec une belle poche d'eau suspendue, et donc je demande à l'équipier s'il pense arriver à défaire ça sans devoir se rebaquer volontairement... et je le vois se rotourner vers moi un peu timide, et me dire : Euh... non pas là !!
Je lève donc la tête, et j'aperçois une superbe méduse qui flotte dans la poche du spi à 2 mètres au dessus de la tête de mon équipier !!!!!
La plus belle pêche que j'ai jamais fait en tout cas.
Sylvanoe
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